Au début des années 1930, Nancy Wake était une jeune femme jouissant d’une vie de bohème à Paris.
D’ici à la fin de la Seconde guerre mondiale, elle était la personne la plus recherchée de la Gestapo.
Comme une journaliste naïve et jeune, Nancy Wake a été témoin d’une scène terrifiante de violence Nazie dans une rue Viennoise. Dès ce moment, elle a déclaré qu’elle ferait tout ce qui est en son pouvoir pour débarrasser l’Europe des Nazis.
Ce qui a commencé comme un travail de courrier çà et là, est devenu un réseau d’évasion fortement réussi avec des soldats Alliés, parfaitement camouflés par la vie en haute société de Nancy à Marseille. Son réseau était bientôt si fructueux et si tristement célèbre qu’elle a été forcée de fuir la France pour échapper à la Gestapo, qui l’avait surnommée “la souris blanche” pour son don glissant d’élaborer des pièges autant redoutables qu’efficaces. Mais Nancy était un ennemi passionné des Nazis et a refusé de rester cachée.
De la fourniture des armes, formatrice pour les membres de la résistance, se battant avec force et organisant des parachutages Alliés, elle n’hésitait pas à faire en vélo quatre cents kilomètres à travers une chaîne de montagnes pour trouver une nouvelle radio de transmission. Rien ne semblait trop difficile dans son combat contre les Nazis.
Peter FitzSimons, célèbre journaliste et auteur Australien, révèle l’histoire incontestablement fascinante de Nancy Wake, un conte d’une femme ordinaire faisant des choses extraordinaires.
Au vu de ce destin autant fort de courages et de terribles épreuves, ce fut avec beaucoup de fierté et d’émotion, que la commune de Verneix s’est vu accueillir selon ses dernières volontés, les cendres de Nancy Wake le 10 mars 2013.